bpv_153733 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
недоступный.
Товар уже продан в нашем интернет-магазине (2012)
Цена: : 48.00 €
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Тип Tétradrachme syro-phénicien
Дата: 218-220
Монетный двор / Город: Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Металл: billon
Диаметр: 26,00 mm
Ориентация осей монеты: 12 h.
Вес: 11,82 g.
Редкость: R1
Комментарии о состоянии
Faible usure de circulation, uniquement sur le ventre de l’aigle, bon centrage mais flan trop court et surface légèrement corrodée
Ссылки в каталоге: :
Происхождение:
Cet exemplaire est le 0266_024 de la base TSP
Лицевая сторона
Аверс: описание: Elagabal tête laurée à droite, un ruban de la couronne de lauriers passant sur l’épaule, un reste de draperie devant et derrière le buste.
Аверс: легенда: AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB.
Аверс: перевод: Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
Обратная сторона
Реверс: Описание: Aigle aux ailes à petits points debout à gauche sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à droite, tenant une couronne lisse de laurier dans son bec, une étoile à six branches entre les pattes.
Реверс: легенда: DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E..
Реверс: перевод: (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
Комментарий
Curieusement, cet aigle à gauche caractérise, à l’intérieur de la série aux aigles à ailes pointées, une fabrication qui ne semble pas avoir de rapport de graveurs ou de coins avec le reste. Là encore, une analyse des liaisons de coins serait nécessaire mais, à première vue, il semble qu’il s’agisse d’une fabrication particulière avec des petits bustes enfantins.
L’étoile entre les pattes de l’aigle est caractéristique d’une étoile rayonnante avec un centre et des rayons.
La série des “aigles aux ailes à petits points” correspond à quelques graveurs que l’on ne trouve pas avant Elagabal mais dont la caractéristique commune est de traiter les plumes des ailes en petits points.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, vingt-huit exemplaires sont maintenant répertoriés.
L’étoile entre les pattes de l’aigle est caractéristique d’une étoile rayonnante avec un centre et des rayons.
La série des “aigles aux ailes à petits points” correspond à quelques graveurs que l’on ne trouve pas avant Elagabal mais dont la caractéristique commune est de traiter les plumes des ailes en petits points.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, vingt-huit exemplaires sont maintenant répertoriés.