fjt_245050 - BRETAGNE (NOBLESSE DE...) Jean Bonaventure Lelay 1748
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Цена: : 380.00 €
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Тип Jean Bonaventure Lelay
Дата: 1748
Металл: silver
Диаметр: 33 mm
Ориентация осей монеты: 6 h.
Вес: 12,30 g.
Век: lisse
Редкость: R3
Комментарии о состоянии
Ce jeton est recouvert d’une légère patine grise. Les champs présentent de petits chocs
Лицевая сторона
Аверс: описание: Armes de J. Lelay : d’argent à la fasce d’argent accompagnée en chef de 3 annelets de gueules, et en pointe d’une aigle éployée de sable.
Обратная сторона
Реверс: легенда: JETTON / DE M. LE PRE. / DE GUEBRIAND / MINIS. PLENIPOT. / DU ROY AUPRÈS / DE S. A. S. ELECTO. / DE COLOGNE / 1748..
Реверс: Описание: en huit lignes dans le champ.
Комментарий
Semble inédit et non répertorié.
Selon les travaux d’Yves Ollivier - http://www.famillesparisiennes.org/public/yollivier/lelay-famille.pdf - Notre personnage est :
Jean Bonaventure II LE LAY de GUEBRIAND (1705 - 1768), comte de Guébriand, en Pluduno (22), chevalier, avocat, conseiller, commissaire aux requêtes du Palais, président au parlement de Paris, lecteur de la chambre du roi, ministre plénipotentiaire auprès de son altesse sérénissime et électorale de Cologne, grand croix de l’Ordre de St Michel de Bavière, demeure, en 1751, à Paris, rue de Richelieu, paroisse St Eustache.
Baptisé le 10 février 1705 à Paris St Eustache, avocat, il obtient une dispense d’âge le 8 août 1728 pour être conseiller à la 1ere chambre des requêtes au Parlement de Paris en remplacement de Jean Baptiste de MACHAULT, et commissaire aux requêtes du Palais, comme successeur d’Alexandre Edme LE RICHE de CHEVEIGN . En 1733, il est pourvu des quatre offices de greffier de la chancellerie de Bretagne que détenait son père. Puis, il cède son office de conseiller à Louis Philippe DESVIEUX, et obtient une nouvelle dispense d’âge le 24 août 1734 pour succéder au Président ROLLAND à la même chambre du parlement de Paris. Au décès de son père en 1740, il reste encore à payer 120 000 livres pour le restant du prix de l’office de président.
Le 12 décembre 1736 il acquiert la charge de lecteur de la chambre du roi, et à ce titre, il loge à Versailles. Il se mêle à la meilleure société de la cour. Le duc de Luynes note comme un évènement remarquable le fait que le roi lui ait accordé des Lettres d’Honneur.
En septembre 1745, le roi Stanislas vient à Dampierre visiter le duc de Luynes, de Guébriand est choisi pour être dans le groupe des invités. Le 12 septembre 1747, un brevet lui conserve les entrées au château de Versailles, dont il jouit en sa qualité de lecteur de la chambre du roi.
Il n’exerce qu’une dizaine d’années sa charge de président, il la cède en 1744 à Philippe Etienne DESVIEUX. Il se destine vraisemblablement à la prêtrise. C’est sous l’appellation « Abbé, comte de Guébriand » et muni d’instructions datées du 18 octobre 1747, qu’il est nommé, en remplacement du comte de SADE, ministre plénipotentiaire auprès de l’Electeur de Cologne, Clément Auguste de Bavière, fils de Max Emmanuel et de Cunégonde Sobieski (fille de Jean, roi de Pologne). Il est accompagné d’un neveu, Yves Marie LE LAY de Kerversiou, en Plouaret, (1725-1793), cadet de Bretagne, dernier enfant d’une famille qui en compta sept, dont le titre de gloire est de remplacer quelques mois, fin 1755, son oncle au poste de
ministre pendant que ce dernier accompagne l’Electeur de Bavière en Italie.
Fin 1755, de GUEBRIAND cesse de plaire à l’Electeur de Cologne et est remplacé par le marquis de MONTEIL.
Il représente la noblesse de l’évêché de St Brieuc à la tenue des Etats de Bretagne en 1736. En 1751, de Guébriant fait une transaction avec Messire Louis DUPRE, seigneur de La Grange Blesneau, Courpalay, chef du conseil de SAS Monseigneur Louis Jean Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, pour un montant de 10 000 livres sur 36 000 dues pour droits de rachats, lods et ventes, suite aux saisies judiciaires faites par son père créancier de François LE METAYER, seigneur de Vauboissel en St Carreuc (22).
En 1763, il est parrain, à Plouaret (22), par procuration au baptême de Bonaventure Maurice TURQUET de BEAUREGARD, fils de Maître Guillaume, sénéchal de la juridiction du Vieux Marché, et de Jeanne Pétronille LE LAY. Il est représenté par le frère de Jeanne Pétronille : Yves Marie LE LAY, pré cité, époux de Marie Josèphe du TREVOU de BREFEILLAC. Ces deux derniers émigrent à Londres début 1792, et y décèdent respectivement en 1793 et 1796.
La physionomie de Guébriand peut être précisée par cette lettre du ministre des Affaires Etrangères Louis Philoxène, marquis de Puissieux en date du 4 mars 1749 :
« Je ne puis m’empêcher de continuer à vous exhorter à mettre plus d’ordre et d’arrangements dans votre dépense. Encore une fois, le traitement que SM vous a fait en vous envoyant à Bonn doit vous suffir en y ajoutant très peu de chose de votre revenu. Je croyais le change sur Cologne
plus considérable que vous me marquez qu’il n’est. C’est une raison de plus pour vous, pour que vous n’expédiez point ce qu’il produit : Aucun de vos prédécesseurs n’ont eu rien de plus et quelques uns avaient moins ».
De Cologne, Guébriant entretint une correspondance active avec Versailles, les intendants d’Alsace, de Lorraine et les trois évêchés, et se rend souvent à Munich et à Mannheim.Après 1755, LE LAY de GUEBRIAND obtient du roi une gratification
annuelle de 6 000 livres. Il décède le 15 avril 1768.
Appears unpublished and unlisted.
According to the work of Yves Ollivier - http://www. Parisian families. org/public/yollivier/lelay-famille. pdf - Our character is: Jean Bonaventure II LE LAY de GUEBRIAND (1705 - 1768), Count of Guébriand, in Pluduno (22), knight, lawyer, advisor, commissioner of requests of the Palace, president of the parliament of Paris, reader of the king's chamber, minister plenipotentiary to his serene and electoral highness of Cologne, grand cross of the Order of St Michael of Bavaria, resides, in 1751, in Paris, rue de Richelieu, parish of St Eustache.
Baptized on February 10, 1705 in Paris St Eustache, lawyer, he obtained an age dispensation on August 8, 1728 to be advisor to the 1st chamber of requests at the Parliament of Paris in replacement of Jean Baptiste de MACHAULT, and commissioner of requests of the Palace, as successor of Alexandre Edme LE RICHE de CHEVEIGN . In 1733, he was given the four offices of clerk of the chancellery of Brittany that his father held.. Then, he ceded his office of advisor to Louis Philippe DESVIEUX, and obtained a new age dispensation on August 24, 1734 to succeed President ROLLAND in the same chamber of the parliament of Paris.. When his father died in 1740, he still had to pay 120,000 livres for the remainder of the price of the office of president..
On December 12, 1736, he acquired the position of reader of the king's chamber, and in this capacity, he resided at Versailles.. He mixes with the best society of the court. The Duke of Luynes noted as a remarkable event the fact that the king had granted him Letters of Honor.
In September 1745, King Stanislas came to Dampierre to visit the Duke of Luynes, and Guébriand was chosen to be among the group of guests.. On September 12, 1747, a patent granted him entry to the Palace of Versailles, which he enjoyed in his capacity as reader of the king's chamber..
He only held the office of president for about ten years, handing it over in 1744 to Philippe Etienne DESVIEUX.. He is probably destined for the priesthood.. It was under the name \\\"Abbot, Count of Guébriand\\\" and provided with instructions dated October 18, 1747, that he was appointed, replacing Count de SADE, plenipotentiary minister to the Elector of Cologne, Clément Auguste of Bavaria, son of Max Emmanuel and Cunégonde Sobieski (daughter of Jean, King of Poland).. He was accompanied by a nephew, Yves Marie LE LAY de Kerversiou, in Plouaret, (1725-1793), youngest of Brittany, last child of a family which had seven, whose claim to fame was to replace for a few months, at the end of 1755, his uncle in the post of minister while the latter accompanied the Elector of Bavaria to Italy..
At the end of 1755, de GUEBRIAND ceased to please the Elector of Cologne and was replaced by the Marquis de MONTEIL.
He represented the nobility of the bishopric of St Brieuc at the holding of the States of Brittany in 1736. In 1751, de Guébriant made a transaction with Messire Louis DUPRE, lord of La Grange Blesneau, Courpalay, head of the council of SAS Monseigneur Louis Jean Marie de Bourbon, Duke of Penthièvre, for an amount of 10,000 livres out of 36,000 due for redemption rights, lods and sales, following the judicial seizures made by his father, creditor of François LE METAYER, lord of Vauboissel in St Carreuc (22).
In 1763, he was godfather, in Plouaret (22), by proxy at the baptism of Bonaventure Maurice TURQUET de BEAUREGARD, son of Maître Guillaume, seneschal of the jurisdiction of the Vieux Marché, and of Jeanne Pétronille LE LAY. He is represented by Jeanne Pétronille's brother: Yves Marie LE LAY, aforementioned, husband of Marie Josèphe du TREVOU de BREFEILLAC. The latter two emigrated to London at the beginning of 1792, and died there respectively in 1793 and 1796..
Guébriand's physiognomy can be clarified by this letter from the Minister of Foreign Affairs Louis Philoxène, Marquis de Puissieux dated March 4, 1749: \\\"I cannot help but continue to urge you to put more order and arrangements in your spending. Again, the treatment SM gave you by sending you to Bonn should be enough for you, adding very little of your income to it.. I thought the exchange rate on Cologne was more considerable than you tell me it is.. This is one more reason for you not to send away what he produces: None of your predecessors had anything more and some had less..
From Cologne, Guébriant maintained an active correspondence with Versailles, the intendants of Alsace, Lorraine and the three bishoprics, and often went to Munich and Mannheim.. After 1755, LE LAY de GUEBRIAND obtained an annual gratuity of 6,000 livres from the king.. He died on April 15, 1768
Selon les travaux d’Yves Ollivier - http://www.famillesparisiennes.org/public/yollivier/lelay-famille.pdf - Notre personnage est :
Jean Bonaventure II LE LAY de GUEBRIAND (1705 - 1768), comte de Guébriand, en Pluduno (22), chevalier, avocat, conseiller, commissaire aux requêtes du Palais, président au parlement de Paris, lecteur de la chambre du roi, ministre plénipotentiaire auprès de son altesse sérénissime et électorale de Cologne, grand croix de l’Ordre de St Michel de Bavière, demeure, en 1751, à Paris, rue de Richelieu, paroisse St Eustache.
Baptisé le 10 février 1705 à Paris St Eustache, avocat, il obtient une dispense d’âge le 8 août 1728 pour être conseiller à la 1ere chambre des requêtes au Parlement de Paris en remplacement de Jean Baptiste de MACHAULT, et commissaire aux requêtes du Palais, comme successeur d’Alexandre Edme LE RICHE de CHEVEIGN . En 1733, il est pourvu des quatre offices de greffier de la chancellerie de Bretagne que détenait son père. Puis, il cède son office de conseiller à Louis Philippe DESVIEUX, et obtient une nouvelle dispense d’âge le 24 août 1734 pour succéder au Président ROLLAND à la même chambre du parlement de Paris. Au décès de son père en 1740, il reste encore à payer 120 000 livres pour le restant du prix de l’office de président.
Le 12 décembre 1736 il acquiert la charge de lecteur de la chambre du roi, et à ce titre, il loge à Versailles. Il se mêle à la meilleure société de la cour. Le duc de Luynes note comme un évènement remarquable le fait que le roi lui ait accordé des Lettres d’Honneur.
En septembre 1745, le roi Stanislas vient à Dampierre visiter le duc de Luynes, de Guébriand est choisi pour être dans le groupe des invités. Le 12 septembre 1747, un brevet lui conserve les entrées au château de Versailles, dont il jouit en sa qualité de lecteur de la chambre du roi.
Il n’exerce qu’une dizaine d’années sa charge de président, il la cède en 1744 à Philippe Etienne DESVIEUX. Il se destine vraisemblablement à la prêtrise. C’est sous l’appellation « Abbé, comte de Guébriand » et muni d’instructions datées du 18 octobre 1747, qu’il est nommé, en remplacement du comte de SADE, ministre plénipotentiaire auprès de l’Electeur de Cologne, Clément Auguste de Bavière, fils de Max Emmanuel et de Cunégonde Sobieski (fille de Jean, roi de Pologne). Il est accompagné d’un neveu, Yves Marie LE LAY de Kerversiou, en Plouaret, (1725-1793), cadet de Bretagne, dernier enfant d’une famille qui en compta sept, dont le titre de gloire est de remplacer quelques mois, fin 1755, son oncle au poste de
ministre pendant que ce dernier accompagne l’Electeur de Bavière en Italie.
Fin 1755, de GUEBRIAND cesse de plaire à l’Electeur de Cologne et est remplacé par le marquis de MONTEIL.
Il représente la noblesse de l’évêché de St Brieuc à la tenue des Etats de Bretagne en 1736. En 1751, de Guébriant fait une transaction avec Messire Louis DUPRE, seigneur de La Grange Blesneau, Courpalay, chef du conseil de SAS Monseigneur Louis Jean Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, pour un montant de 10 000 livres sur 36 000 dues pour droits de rachats, lods et ventes, suite aux saisies judiciaires faites par son père créancier de François LE METAYER, seigneur de Vauboissel en St Carreuc (22).
En 1763, il est parrain, à Plouaret (22), par procuration au baptême de Bonaventure Maurice TURQUET de BEAUREGARD, fils de Maître Guillaume, sénéchal de la juridiction du Vieux Marché, et de Jeanne Pétronille LE LAY. Il est représenté par le frère de Jeanne Pétronille : Yves Marie LE LAY, pré cité, époux de Marie Josèphe du TREVOU de BREFEILLAC. Ces deux derniers émigrent à Londres début 1792, et y décèdent respectivement en 1793 et 1796.
La physionomie de Guébriand peut être précisée par cette lettre du ministre des Affaires Etrangères Louis Philoxène, marquis de Puissieux en date du 4 mars 1749 :
« Je ne puis m’empêcher de continuer à vous exhorter à mettre plus d’ordre et d’arrangements dans votre dépense. Encore une fois, le traitement que SM vous a fait en vous envoyant à Bonn doit vous suffir en y ajoutant très peu de chose de votre revenu. Je croyais le change sur Cologne
plus considérable que vous me marquez qu’il n’est. C’est une raison de plus pour vous, pour que vous n’expédiez point ce qu’il produit : Aucun de vos prédécesseurs n’ont eu rien de plus et quelques uns avaient moins ».
De Cologne, Guébriant entretint une correspondance active avec Versailles, les intendants d’Alsace, de Lorraine et les trois évêchés, et se rend souvent à Munich et à Mannheim.Après 1755, LE LAY de GUEBRIAND obtient du roi une gratification
annuelle de 6 000 livres. Il décède le 15 avril 1768.
Appears unpublished and unlisted.
According to the work of Yves Ollivier - http://www. Parisian families. org/public/yollivier/lelay-famille. pdf - Our character is: Jean Bonaventure II LE LAY de GUEBRIAND (1705 - 1768), Count of Guébriand, in Pluduno (22), knight, lawyer, advisor, commissioner of requests of the Palace, president of the parliament of Paris, reader of the king's chamber, minister plenipotentiary to his serene and electoral highness of Cologne, grand cross of the Order of St Michael of Bavaria, resides, in 1751, in Paris, rue de Richelieu, parish of St Eustache.
Baptized on February 10, 1705 in Paris St Eustache, lawyer, he obtained an age dispensation on August 8, 1728 to be advisor to the 1st chamber of requests at the Parliament of Paris in replacement of Jean Baptiste de MACHAULT, and commissioner of requests of the Palace, as successor of Alexandre Edme LE RICHE de CHEVEIGN . In 1733, he was given the four offices of clerk of the chancellery of Brittany that his father held.. Then, he ceded his office of advisor to Louis Philippe DESVIEUX, and obtained a new age dispensation on August 24, 1734 to succeed President ROLLAND in the same chamber of the parliament of Paris.. When his father died in 1740, he still had to pay 120,000 livres for the remainder of the price of the office of president..
On December 12, 1736, he acquired the position of reader of the king's chamber, and in this capacity, he resided at Versailles.. He mixes with the best society of the court. The Duke of Luynes noted as a remarkable event the fact that the king had granted him Letters of Honor.
In September 1745, King Stanislas came to Dampierre to visit the Duke of Luynes, and Guébriand was chosen to be among the group of guests.. On September 12, 1747, a patent granted him entry to the Palace of Versailles, which he enjoyed in his capacity as reader of the king's chamber..
He only held the office of president for about ten years, handing it over in 1744 to Philippe Etienne DESVIEUX.. He is probably destined for the priesthood.. It was under the name \\\"Abbot, Count of Guébriand\\\" and provided with instructions dated October 18, 1747, that he was appointed, replacing Count de SADE, plenipotentiary minister to the Elector of Cologne, Clément Auguste of Bavaria, son of Max Emmanuel and Cunégonde Sobieski (daughter of Jean, King of Poland).. He was accompanied by a nephew, Yves Marie LE LAY de Kerversiou, in Plouaret, (1725-1793), youngest of Brittany, last child of a family which had seven, whose claim to fame was to replace for a few months, at the end of 1755, his uncle in the post of minister while the latter accompanied the Elector of Bavaria to Italy..
At the end of 1755, de GUEBRIAND ceased to please the Elector of Cologne and was replaced by the Marquis de MONTEIL.
He represented the nobility of the bishopric of St Brieuc at the holding of the States of Brittany in 1736. In 1751, de Guébriant made a transaction with Messire Louis DUPRE, lord of La Grange Blesneau, Courpalay, head of the council of SAS Monseigneur Louis Jean Marie de Bourbon, Duke of Penthièvre, for an amount of 10,000 livres out of 36,000 due for redemption rights, lods and sales, following the judicial seizures made by his father, creditor of François LE METAYER, lord of Vauboissel in St Carreuc (22).
In 1763, he was godfather, in Plouaret (22), by proxy at the baptism of Bonaventure Maurice TURQUET de BEAUREGARD, son of Maître Guillaume, seneschal of the jurisdiction of the Vieux Marché, and of Jeanne Pétronille LE LAY. He is represented by Jeanne Pétronille's brother: Yves Marie LE LAY, aforementioned, husband of Marie Josèphe du TREVOU de BREFEILLAC. The latter two emigrated to London at the beginning of 1792, and died there respectively in 1793 and 1796..
Guébriand's physiognomy can be clarified by this letter from the Minister of Foreign Affairs Louis Philoxène, Marquis de Puissieux dated March 4, 1749: \\\"I cannot help but continue to urge you to put more order and arrangements in your spending. Again, the treatment SM gave you by sending you to Bonn should be enough for you, adding very little of your income to it.. I thought the exchange rate on Cologne was more considerable than you tell me it is.. This is one more reason for you not to send away what he produces: None of your predecessors had anything more and some had less..
From Cologne, Guébriant maintained an active correspondence with Versailles, the intendants of Alsace, Lorraine and the three bishoprics, and often went to Munich and Mannheim.. After 1755, LE LAY de GUEBRIAND obtained an annual gratuity of 6,000 livres from the king.. He died on April 15, 1768