bpv_305572 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
недоступный.
Товар уже продан в нашем интернет-магазине (2014)
Цена: : 85.00 €
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Тип Tétradrachme syro-phénicien
Дата: 218-220
Монетный двор / Город: Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Металл: billon
Диаметр: 26,00 mm
Ориентация осей монеты: 7 h.
Вес: 14,07 g.
Комментарии о состоянии
Très faible usure de circulation uniquement visible sur les lauriers et le ventre de l’aigle, bon centrage bons coins
Ссылки в каталоге: :
Происхождение:
Cet exemplaire, qui provient de la trouvaille dite de Jordanie 1930, est le 0257_011 de la base TSP
Лицевая сторона
Аверс: описание: Elagabal tête laurée à droite, les rubans de la couronne de lauriers flottant derrière la tête, un reste de draperie devant et derrière le buste.
Аверс: легенда: AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB.
Аверс: перевод: Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
Обратная сторона
Реверс: Описание: Aigle au style de Laodicée nettement debout à droite sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à gauche, tenant une couronne lisse de laurier dans son bec, une étoile à huit branches entre les pattes.
Реверс: легенда: DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E..
Реверс: перевод: (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
Комментарий
Bien que classé par commodité à Antioche, ce type a été attribué au graveur de Laodicée en Séleucie et Pierie, par identité de style du revers avec les frappes de cet atelier sous Caracalla et Macrin.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : aucun portrait n’est compatible avec un style de Laodicée tel que nous le voyons sous Caracalla ou Macrin ; en revanche, cette série de revers “laodicéen” est bien fournie. On peut donc penser que ce graveur fut exclusivement chargé de graver des revers tandis que d’autres, dans le même atelier, gravaient des droits.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, cent cinquante exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées Yale (3), Paris (2), ANS, Jérusalem (16), Berlin (2), Oxford (2) et Israel State Museum.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : aucun portrait n’est compatible avec un style de Laodicée tel que nous le voyons sous Caracalla ou Macrin ; en revanche, cette série de revers “laodicéen” est bien fournie. On peut donc penser que ce graveur fut exclusivement chargé de graver des revers tandis que d’autres, dans le même atelier, gravaient des droits.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, cent cinquante exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées Yale (3), Paris (2), ANS, Jérusalem (16), Berlin (2), Oxford (2) et Israel State Museum.