bpv_306362 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
недоступный.
Товар уже продан в нашем интернет-магазине (2014)
Цена: : 90.00 €
Товар уже продан в нашем интернет-магазине (2014)
Цена: : 90.00 €
Тип Tétradrachme syro-phénicien
Дата: 218-220
Монетный двор / Город: Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Металл: billon
Диаметр: 26,00 mm
Ориентация осей монеты: 6 h.
Вес: 13,06 g.
Редкость: R2
Комментарии о состоянии
Légère usure de circulation, flan ovale qui met en valeur le portrait, style caractéristique du type
Ссылки в каталоге: :
Происхождение:
Cet exemplaire, qui provient des plateaux d’un marchand anglais ambulant en 1996, est le 0276_005 de la base TSP
Лицевая сторона
Аверс: описание: Elagabal tête laurée à droite, les rubans de la couronne de lauriers flottant derrière la tête, un reste de draperie devant et derrière le buste.
Аверс: легенда: AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB
Аверс: перевод: Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
Обратная сторона
Реверс: Описание: Aigle aux ailes en ovales verticaux debout à droite sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à gauche, tenant une couronne feuillée de laurier dans son bec, une étoile entre les pattes.
Реверс: легенда: DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E.
Реверс: перевод: (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
Комментарий
Les graveurs de revers variés classés entre le Prieur 273 et le 278 essayent de montrer la variété des graveurs de revers pour Elagabal. En ce qui concerne le Prieur 276, il semble d’un graveur unique pour le revers, qui pourrait rappeler certains revers d’Arados sous Caracalla. Ces graveurs ont manifestement réalisé quelques coins de revers, un seul parfois, comme le Prieur 274, alors que le droit est d’un graveur connu.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, dix-sept exemplaires sont maintenant répertoriés, dont en musées Yale ex Doura, Berne et Oxford.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, dix-sept exemplaires sont maintenant répertoriés, dont en musées Yale ex Doura, Berne et Oxford.