fme_650618 - LOUIS-PHILIPPE I Médaille, JULES JANIN, Vicomte de Chateaubriand
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Цена: : 50.00 €
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Тип Médaille, JULES JANIN, Vicomte de Chateaubriand
Дата: 1844
Монетный двор / Город: France, Bretagne
Металл: copper
Диаметр: 41,5 mm
Ориентация осей монеты: 12 h.
Вес: 38,07 g.
Век: lisse + proue CUIVRE
Пуансон: Proue (1842 - 1845)
Комментарии о состоянии
Patine marron avec une légère usure sur les hauts reliefs. Traces de manipulation
Ссылки в каталоге: :
Лицевая сторона
Аверс: легенда: F. A. VICOMTE DE - CHATEAUBRIAND.
Аверс: описание: Buste habillé de trois quarts face de Chateaubriand, signé : A. BOVY - D’APRES GIRODET.
Обратная сторона
Реверс: легенда: LA BRETAGNE HISTORIQUE PAR JULES JANIN.
Реверс: Описание: Écu couronné de Bretagne, signé : ERNEST BOURDIN EDITEUR 1844..
Комментарий
Gabriel-Jules Janin, né à Saint-Étienne le 16 février 18041 est mort à Paris le 19 juin 1874, est un écrivain et critique dramatique français.
Fils d’un avocat, Janin reçoit une bonne éducation, d’abord dans sa ville natale puis au lycée Louis-le-Grand à Paris. Après un passage dans l’étude de l’avoué Jean-Baptiste Guillonnet-Merville, où il sera saute-ruisseau en même temps qu’Honoré de Balzac, il devient journaliste et travaille notamment à la Revue de Paris, à la Revue des deux Mondes, au Figaro et à la Quotidienne. Il fut parmi les fondateurs de la Revue de Paris et du Journal des Enfants. Il se fait connaître en 1827 avec le roman L’Âne mort et la femme guillotinée. La Confession en 1830, un peu moins profond, mais au style encore plus remarquable, et Barnave en 1831, où il attaque la famille d’Orléans, finissent d’asseoir sa réputation.
Entre-temps, il entre comme critique au Journal des Débats où il reste quarante ans. Son autorité le fait surnommer « le prince des critiques »..
Fils d’un avocat, Janin reçoit une bonne éducation, d’abord dans sa ville natale puis au lycée Louis-le-Grand à Paris. Après un passage dans l’étude de l’avoué Jean-Baptiste Guillonnet-Merville, où il sera saute-ruisseau en même temps qu’Honoré de Balzac, il devient journaliste et travaille notamment à la Revue de Paris, à la Revue des deux Mondes, au Figaro et à la Quotidienne. Il fut parmi les fondateurs de la Revue de Paris et du Journal des Enfants. Il se fait connaître en 1827 avec le roman L’Âne mort et la femme guillotinée. La Confession en 1830, un peu moins profond, mais au style encore plus remarquable, et Barnave en 1831, où il attaque la famille d’Orléans, finissent d’asseoir sa réputation.
Entre-temps, il entre comme critique au Journal des Débats où il reste quarante ans. Son autorité le fait surnommer « le prince des critiques »..