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Цена: : 280.00 €
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Тип Médaille de Marie-Louise d'Autriche
Дата: 1836
Монетный двор / Город: Autriche - France
Металл: bronze
Диаметр: 59 mm
Ориентация осей монеты: 12 h.
Гравер GALLI E.
Вес: 77 g.
Век: lisse
Комментарии о состоянии
Superbe médaille avec de beaux reliefs et une magnifique patine grise
Лицевая сторона
Аверс: легенда: M. LVDOVICA - AVGVSTA.
Аверс: описание: Buste drapé à l’antique de Marie-Louise à gauche.
Обратная сторона
Реверс: легенда: PARMA EXONARTA - ET AVCTA // XX VIRI MVNICIPAL / A MDCCCXXVI.
Реверс: Описание: La muse Clio écrivant sur un parchemin “BIBLIOTHECA / PINACOTHECA / THEATRVM / NOSOCOMIA / LANIENA”.
Комментарий
Médaille signée E. GALLI F. au droit comme au revers ; ce graveur probablement italien semble n’avoir laissé que très peu de trace. Ce type semble exister en bronze, en argent et en or.
Marie-Louise d'Autriche (Maria Ludovica Leopoldina Francisca Theresa Josepha Lucia de Habsbourg-Lorraine), archiduchesse d'Autriche, princesse de Hongrie et de Bohême, née le 12 décembre 1791 à Vienne (Autriche) et morte le 17 décembre 1847 à Parme (Parme), est impératrice des Français de 1810 à 1814, puis duchesse de Parme, Plaisance et Guastalla jusqu'en 1847.
Fille aînée de l'empereur François Ier d'Autriche, elle est donnée en mariage en 1810 à l'empereur des Français et roi d'Italie Napoléon Ier pour sceller le traité de Schönbrunn entre la France et l'Autriche, après la défaite de celle-ci lors de la bataille de Wagram en 1809.
Rejoignant à contrecœur la cour impériale des Tuileries, Marie-Louise commence rapidement à apprécier sa nouvelle position bien que les Français ne l'aiment pas et qu'elle ne se sente pas chez elle dans ce pays qui, vingt ans auparavant, a décapité une autre archiduchesse autrichienne, sa grand-tante Marie-Antoinette, épouse de Louis XVI.
Quand Napoléon est vaincu par la Sixième Coalition, Marie-Louise décide de ne pas le suivre dans son exil à l'île d'Elbe, mais rentre avec son fils à la cour de Vienne. À l'issue des Cent-Jours et de la défaite décisive de Napoléon à Waterloo, l'impératrice, pour mieux défendre les intérêts de son fils, décide de rester fidèle à sa famille d’origine, les Habsbourg-Lorraine. Le congrès de Vienne lui accorde, en 1815, les Duchés de Parme, Plaisance et Guastalla. Elle n'a alors que 24 ans.
Durement critiquée par les Français pour avoir abandonné Napoléon au moment de la débâcle, Marie-Louise, qui gouverne pendant une période troublée, réussit en revanche, par une politique éclairée et sociale étroitement surveillée par l'Autriche, à être très aimée des Parmesans qui l'appellent « la bonne duchesse »..
Medal signed E. GALLI F. on the obverse as on the reverse; this probably Italian engraver seems to have left very little trace. This type seems to exist in bronze, silver and gold.
Maria Louise of Austria (Maria Ludovica Leopoldina Francisca Theresa Josepha Lucia of Habsburg-Lorraine), Archduchess of Austria, Princess of Hungary and Bohemia, born on December 12, 1791 in Vienna (Austria) and died on December 17, 1847 in Parma (Parma), was Empress of the French from 1810 to 1814, then Duchess of Parma, Piacenza and Guastalla until 1847.
Eldest daughter of Emperor Francis I of Austria, she was given in marriage in 1810 to the Emperor of the French and King of Italy Napoleon I to seal the Treaty of Schönbrunn between France and Austria, after the latter's defeat at the Battle of Wagram in 1809..
Reluctantly joining the imperial court at the Tuileries, Marie-Louise quickly began to enjoy her new position, although the French disliked her and she felt unat home in the country which, twenty years earlier, had beheaded another Austrian archduchess, her great-aunt Marie-Antoinette, wife of Louis XVI..
When Napoleon was defeated by the Sixth Coalition, Marie-Louise decided not to follow him into exile on the island of Elba, but returned with her son to the court of Vienna.. Following the Hundred Days and Napoleon's decisive defeat at Waterloo, the Empress, in order to better defend her son's interests, decided to remain loyal to her family of origin, the Habsburg-Lorraine.. In 1815, the Congress of Vienna granted him the Duchies of Parma, Piacenza and Guastalla.. She was only 24 years old at the time..
Harshly criticized by the French for having abandoned Napoleon at the time of the debacle, Marie-Louise, who governed during a troubled period, succeeded on the other hand, through an enlightened and social policy closely monitored by Austria, in being very much loved by the Parmesans who called her \\\"the good duchess\\\"..
Marie-Louise d'Autriche (Maria Ludovica Leopoldina Francisca Theresa Josepha Lucia de Habsbourg-Lorraine), archiduchesse d'Autriche, princesse de Hongrie et de Bohême, née le 12 décembre 1791 à Vienne (Autriche) et morte le 17 décembre 1847 à Parme (Parme), est impératrice des Français de 1810 à 1814, puis duchesse de Parme, Plaisance et Guastalla jusqu'en 1847.
Fille aînée de l'empereur François Ier d'Autriche, elle est donnée en mariage en 1810 à l'empereur des Français et roi d'Italie Napoléon Ier pour sceller le traité de Schönbrunn entre la France et l'Autriche, après la défaite de celle-ci lors de la bataille de Wagram en 1809.
Rejoignant à contrecœur la cour impériale des Tuileries, Marie-Louise commence rapidement à apprécier sa nouvelle position bien que les Français ne l'aiment pas et qu'elle ne se sente pas chez elle dans ce pays qui, vingt ans auparavant, a décapité une autre archiduchesse autrichienne, sa grand-tante Marie-Antoinette, épouse de Louis XVI.
Quand Napoléon est vaincu par la Sixième Coalition, Marie-Louise décide de ne pas le suivre dans son exil à l'île d'Elbe, mais rentre avec son fils à la cour de Vienne. À l'issue des Cent-Jours et de la défaite décisive de Napoléon à Waterloo, l'impératrice, pour mieux défendre les intérêts de son fils, décide de rester fidèle à sa famille d’origine, les Habsbourg-Lorraine. Le congrès de Vienne lui accorde, en 1815, les Duchés de Parme, Plaisance et Guastalla. Elle n'a alors que 24 ans.
Durement critiquée par les Français pour avoir abandonné Napoléon au moment de la débâcle, Marie-Louise, qui gouverne pendant une période troublée, réussit en revanche, par une politique éclairée et sociale étroitement surveillée par l'Autriche, à être très aimée des Parmesans qui l'appellent « la bonne duchesse »..
Medal signed E. GALLI F. on the obverse as on the reverse; this probably Italian engraver seems to have left very little trace. This type seems to exist in bronze, silver and gold.
Maria Louise of Austria (Maria Ludovica Leopoldina Francisca Theresa Josepha Lucia of Habsburg-Lorraine), Archduchess of Austria, Princess of Hungary and Bohemia, born on December 12, 1791 in Vienna (Austria) and died on December 17, 1847 in Parma (Parma), was Empress of the French from 1810 to 1814, then Duchess of Parma, Piacenza and Guastalla until 1847.
Eldest daughter of Emperor Francis I of Austria, she was given in marriage in 1810 to the Emperor of the French and King of Italy Napoleon I to seal the Treaty of Schönbrunn between France and Austria, after the latter's defeat at the Battle of Wagram in 1809..
Reluctantly joining the imperial court at the Tuileries, Marie-Louise quickly began to enjoy her new position, although the French disliked her and she felt unat home in the country which, twenty years earlier, had beheaded another Austrian archduchess, her great-aunt Marie-Antoinette, wife of Louis XVI..
When Napoleon was defeated by the Sixth Coalition, Marie-Louise decided not to follow him into exile on the island of Elba, but returned with her son to the court of Vienna.. Following the Hundred Days and Napoleon's decisive defeat at Waterloo, the Empress, in order to better defend her son's interests, decided to remain loyal to her family of origin, the Habsburg-Lorraine.. In 1815, the Congress of Vienna granted him the Duchies of Parma, Piacenza and Guastalla.. She was only 24 years old at the time..
Harshly criticized by the French for having abandoned Napoleon at the time of the debacle, Marie-Louise, who governed during a troubled period, succeeded on the other hand, through an enlightened and social policy closely monitored by Austria, in being very much loved by the Parmesans who called her \\\"the good duchess\\\"..